Déclarationd’impôts séparée ou commune en bref. Voici les éléments clés à retenir pour procéder à un choix éclairé entre la déclaration d’impôts séparée ou commune selon CatherineIl suffit d'un amour Tome 1. Vingt hommes vigoureux s'était attelés au bélier, une énorme poutre de chêne prise à un chantier voisin. Ils reculaient de quelques pas puis, avec ensemble, se ruaient de toute leur vitesse sur les vantaux armés de fer qui résonnaient comme un gigantesque tambour, rythmant leur effort de « Han » durement scandés. Sous les coups 1 Citations sur l’absence de l’être aimé : Quand l’amour résiste à l’absence, il est à l’épreuve de tout. ~ Henri-Frédéric Amiel. Oh qu’il est cruel d’aimer alors qu’on est séparé de l’être qu’on aime ~ Victor Hugo. L’amour supporte mieux l’absence ou la mort que le doute ou la trahison. ~ André Maurois. Ilen résulte des lentilles de contact plus hygiéniques et mieux hydratées, ce qui garantit un meilleur confort de port. 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Sais-tu qu'il suffit d'un mot, d'un geste pour me vexer ? Sais-tu qu'il suffit d'une petite chose pour me faire craquer ? D'un côté, je pense que tu l'ignores car tu n'essayes même pas de me connaître. Tu ne veux pas savoir qui je suis, tu te contentes de ce que j'ai l'air, et pas de ce que je suis vraiment. Tu n'essayes même pas de voir plus loin que le bout de ton nez, tu n'essayes même pas de savoir plus que tu crois savoir. Tu penses me connaître, mais les apparences sont parfois trompeuses. Ne te fis pas à mes fréquentations qui craignent parfois, ne te fis pas à ce que je te montres. Essaye plutôt de découvrir qui je suis, de découvrir ce que je peux ressentir. Essayes de savoir pourquoi je suis comme ça, essayes de savoir pourquoi je t'aime. Essayes de ne plus juger sans connaître. Essayes juste de pouvoir juger les gens sur ce qu'ils sont et non pas ce qu'ils paraissent à première vue. Tu connais mon prénom et mon nom, tu connais mon visage, mais tu ne sais pas qui je suis. On a tous un masque sur nos visages, tu te contentes de nos masques et n'essaye même pas de les retirer pour voir qui se cache vraiment sous ces derniers. Tu te contentes de juger sur le physique, sur l'apparence, sur ce que disent les autres, et c'est blessant !D'un autre côté, je pense que tu sais qu'il suffit d'un rien pour me blesser. Tu profites de ma faiblesse, tu sais à quel point je peux être jalouse quand tu t'approches trop d'une fille. Je sais que tu vois les regards que je te lance quand tu la serre dans tes bras, tu sais que je baisse la tête et que je me tourne quand je vous vois l'un dans les bras de l'autres. Tu sais ce que je ressent, tu sais ce que ça me fait, et tu aimes jouer avec le fait que ça me blesse. Tu fais le mec froid, distant, et quand tu as besoin de moi tu deviens quelqu'un de gentil, souriant. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu te caches sous un putain de masque ? Pourquoi tu fais le mec fort, le mec qui ressent rien ? Tout le monde a des sentiments, tout le monde peut ressentir quelque chose. Alors arrête de faire semblant de t'en fiches de tout, parcequ'il doit bien y avoir des choses aux quels tu tiens mais tu es juste un mec qui veut paraître fort, incassable. J'ai mes faiblesses, tu dois bien avoir les tiennes. Un jour je l'ai trouverai, et je te promet que si je le peux, je jouerais avec, quoi que ce soit ! Je te rendrais la pareille, je te montrerai ce que tu me faisait subir. Ne crois pas que je ne sait pas que tu ne fais pas exprès de me regarder quand tu es dans ses bras ! Tu sais mal jouer. Mais maintenant, je suis devenue plus forte. Rien n'est plus comme avant, je peut enfin penser à autre chose qu'à ce pauvre Toi. Je t'oublies, c'est tout... Mais si ! C'est un scoop. Passionnant. L'école, c'est comme un magasin. Chacun connaît la stratégie du bon commerçant trouver des moyens, peu importe lesquels, pour attirer le chaland dans la boutique. Une fois à l'intérieur, et même s'il n'a besoin de rien, il ne ressortira pas sans acheter quelque chose. De la même manière, un élève, une fois à l'intérieur d'un établissement scolaire, en ressort nécessairement avec des savoirs nouveaux. On comprend que les enseignants soient de moins en moins indispensables l'essentiel est que les élèves soient "entre les murs"... Ça doit fonctionner, en quelque sorte, par osmose.... Soyons sérieux. La proposition ministérielle d'expérimenter un système de pseudo "récompense" pour lutter contre l'absentéisme pourrait déclencher un fou-rire, si elle n'était pas aussi désolante. On objectera que c'est une récompense intelligente, non personnelle on voit mal comment, elle pourrait ne pas l'être, et soumise à l'existence de projets. Outre que ces garde-fous sont loin d'être clairs et que leur mise en application est loin d'être évidente, la proposition renvoie toujours à une conception "récompense/punition" de l'éducation. On objectera aussi que ce n'est qu'une expérimentation on décidera en fonction des résultats. Ces deux objections sont aussi navrantes l'une que l'autre. Comment prendre au sérieux une expérience, dépourvue de tout présupposé scientifique, fondée sur des constats de café du Commerce et soumise à la seule attente du résultat ? On pense irrésistiblement au titre d'un ouvrage, violemment polémique, publié naguère par un anti-pédagogiste virulent contre les méthodes actives en classe "Un poisson rouge dans le Perrier". Excusez-moi, mais cette expérimentation officielle est de la même eau ! Quant au critère d'évaluation de cette expérimentation, le résultat obtenu, sa qualité scientifique reste problématique, quoique en cohérence avec les évaluations scolaires officielles. Comme pour celles-ci, on cherche en vain les justifications théoriques de son choix. Le résultat ? Quel résultat ? Et en quoi, sera-t-il de nature à résoudre le problème ? Admettons que les élèves ne s'absentent plus. Est-ce vraiment ce qu'on attend d'eux ? Si les élèves sont à l'école, ce n'est certes pas pour y séjourner, agréablement ou non. Ils y sont pour acquérir des savoirs et construire des compétences. C'est là le seul critère d'évaluation possible de n'importe quelle expérimentation scolaire. Encore faut-il avoir défini ces savoirs et ces compétences, avec précision, en termes de comportements observables, et non par des termes généraux et abstraits. Nous sommes loin du compte. On peut ici imaginer une réponse du type "Dans l'école, au moins, avec un peu d'autorité enfin retrouvée, on pourra l'obliger à travailler ..." "Voire", comme dit Pichrocole. "Voire" dit aussi Philippe Meirieu, qui rappelle — et de façon si claire et si convaincante — que l'on peut contraindre à beaucoup de choses, mais certainement pas à apprendre. Avec des coups de fouet, on peut forcer à ramer ou à marcher. Avec l'autorité retrouvée, on peut forcer à faire des exercices. Non ! Erreur ! On peut forcer à faire semblant de faire des exercices. Mais, outre qu'on n'apprend pas avec des exercices, les élèves, depuis longtemps, sont passés maîtres dans l'art de faire sans travailler. Nombreux sont ceux qui, de mon temps, avaient découvert, par exemple, que l'on peut répondre aux question de lecture sans avoir lu le texte, et qu'on peut très bien écrire quatre pages de dissertation sur Zola sans avoir ouvert un seul de ses romans. Mais le plus grave, c'est la signification morale de cette proposition. Vouloir attirer les élèves par la perspective d'une récompense, — et financière, qui plus est — c'est, comme le dit Philippe Meirieu, aussi anti-éducatif que possible. J'ai eu à plusieurs reprises l'occasion d'évoquer cette erreur éducative ancestrale, qui explique beaucoup de choses sur l'état moral lamentable des adultes que nous sommes. Inutile d'y revenir ici. Je voudrais seulement rappeler que, face à un mal de tête qui dure, il n'est jamais prudent de se contenter d'aspirine. L'absentéisme a des causes, qu'il s'agirait peut-être d'étudier, en cessant de considérer qu'elles sont toutes extérieures à l'école. C'est à l'intérieur de celle-ci que se trouvent les plus importantes. Non par la "faute" des enseignants, mais par celle de la formation qu'on leur a donnée, qui les livre aux traditions absurdes que l'on connaît. Une amie qui visite souvent des classes pour raison professionnelle, me parlait récemment de l'ennui monumental qui y règne... Qui irait volontiers dans un endroit où l'on s'ennuie et dont on ne voit nullement l'intérêt ? Si on se décidait enfin à aider les enseignants ? Les aider à savoir motiver les élèves, à savoir éclairer pour eux l'intérêt d'apprendre, à pouvoir les convaincre que l'on n'apprend pas pour exercer un métier c'est le rôle de la formation professionnelle, qui n'a rien à voir avec les "études", mais pour construire leur propre liberté et devenir ENSUITE, justement, capables d'apprendre un métier, choisi en connaissance de cause ? Si la formation des enseignants servait à cela ? Si elle était enfin l'objet d'un travail sérieux de nos décideurs ? Et si on se décidait enfin à ne plus prendre les élèves pour des ânes... ? Ils n'auraient peut-être plus besoin de carottes pour venir à l'école. français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois espagnol Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Traduction - dopée à l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu récupérer les informations. Nous travaillons pour résoudre ce problème au plus vite. Non qu'il suffise d'étudier Traduction de voix et de textes plus longs Non qu'il suffise d'étudier les principes de la Géologie, de lire les traités spéciaux des divers auteurs sur les formations séparées, et de tenir compte de leurs tentatives pour donner une idée insuffisante des durées de chaque formation ou même de chaque couche. No basta estudiar los principios de la geología o leer tratados especiales de observadores diferentes sobre formaciones distintas, y señalar cómo cada autorinten-ta dar una idea inadecuada de la duración do cada formación, y aun de cada capa. Je ne suis pas sûre non plus au sujet de la proposition des sociaux-démocrates qu'il suffise de créer un conseil économique international pour contrôler la spéculation. Tampoco estoy tan segura por lo que respecta a la propuesta de los socialdemócratas en el sentido de que bastaría con la creación de un consejo económico internacional para controlar la especulación. La délégation japonaise doute qu'il suffise d'incitations pécuniaires pour persuader des fonctionnaires d'accepter un poste dans un lieu d'affectation famille non autorisée. Su delegación duda de que los incentivos monetarios puedan persuadir al personal de aceptar asignaciones en lugares de destino no aptos para familias. Ses ramifications seraient, pour une Afrique du Sud unie, démocratique et non raciale, trop effroyables à envisager. Qu'il suffise de dire que cela hypothéquerait gravement l'édification de ce grand pays. Sus ramificaciones para una Sudáfrica unida, democrática y sin distinciones raciales serían demasiado espantosas, pero baste decir que sería una carga para la construcción de la nación en ese gran país. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 1249268. Exacts 1. Temps écoulé 420 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200 Que vous soyez au rez-de-chaussée côté cour d’un immeuble, que vous possédiez un petit patio ou que votre maison de campagne ait un petit extérieur, l’aménagement de votre jardin est incontournable pour l’été. Fleurs, arbustes, massifs sont de parfaits alliés pour agencer un terrain. Mais si vous n’avez pas la main verte, la décoration s’avère être efficace pour le structurer. Il faut rivaliser d’idées pour aménager un jardin surtout s’il est petit. Les maîtres-mots seront gain de place, installations pratiques et petits meubles. À la recherche d'idées pour les petits jardins ? Inspirez-vous de ces aménagements autour du monde dénichés sur HOUZZ, la plateforme de référence qui met en relation les particuliers avec les professionnels de la maison architectes, décorateurs, artisans et entreprises générales du bâtiment afin de trouver l’interlocuteur idéal au moment de se lancer dans des optimiser l’espace d’un petit jardin ?Un petit jardin peut avoir une ou plusieurs utilisations. Vous rêvez d’un lieu agréable pour vous prélasser, d’un endroit où cultiver des légumes ou un mélange de ces deux options ? Le coin détente et/ou repas trouvent place contre la façade afin de laisser l’espace à la verdure. Choisissez un emplacement entre ombre et soleil pour votre futur potager. Le carré potager sur pied est une alternative pratique. Misez uniquement sur du mobilier de jardin proportionnel à la superficie disponible canapé deux places, banquette, table carrée, chaises pliantes, etc. Si vous souhaitez avoir une piscine, elle sera aménagée en long sur un terrain rectangulaire et dans un angle d’un extérieur carré. Une balançoire s’installera sur la branche d’un arbre. Des plantes grimpantes offriront un coin d’ombre de même qu’un petit modèle de pergola. Adapter aux différents usages un jardin si petit soit-il est donc possible avec un peu de stratégie. meilleures idées pour aménager un petit jardin AuteurMessageSujet Il suffit d’une étincelle Sam 18 Déc - 2204 *fshp* *fshp* *fshp*Un à la fois entre chaque bouquin dans son emplacement respectif. Le son qui accompagne l’action a quelque chose d’envoûtant. C’est si près du son d’un tout nouveau bût à mon existence; c’est bien à si méprendre. Je jette le regard au dessus de mon épaule, au delà des infinis vagues de bibliothèques dressées dans la librairie de l’académie. Je suis chanceux de ne pas avoir le vertige. J’ai dû grimper au moins cent cinquante pieds d’échelle afin d’arriver à la demeure de ces quelques derniers livres. Je m’attarde distraitement sur la majestueuse scène avant de me remettre au boulot. Après mon aventure au côté d’Ayame, je me vis conféré le rôle de bibliothécaire; c’est une manière rêveuse de dire que j’ai acquis des travaux communautaires. Je les accomplis diligemment. Je n’ai pas vraiment le choix. Ou du moins, pas selon mon code d’honneur. Après tout, je me suis infiltré dans cette faculté avec intentions… eh bien, sinon malicieuse, au moins malhonnête. Chose que je ne peux entièrement raisonner avec ma conscience, avec un peu de recule. D’autant plus que j’ai mis en danger plusieurs vies, cette journée là. Enfin… je crois. Je ne connais toujours pas la nature de mes capacités, alors voir l’étendue de celles-cis. C’est pour cette raison que je porte un collier anti-magie. On m’a dis qu’il diminuait ma puissance de moitié, environ. Je ne ressent aucune différence. Je file à toute vitesse le long de l’échelle magique. Celle-ci étant dépourvue d’ancrages, je peux garder les mains fermement serrées de chaque côté et glisser jusqu’au sol. À mon arrivée, l’échelle reprend son parcours aléatoire le long de la parois truffée d’innombrables volumes. Un discret sourire de satisfaction soulève les coins de mes lèvres. Les événements m’ayant menés jusqu’ici n’ont finit de me hanter. Mes nuits sont longues, pénibles. Certains soirs, la fatigue emporte sur mon traumatisme et je sombre dans un sommeil agité. Les pire nuits d’entre ceux là sont celles où je n’échappe à mes terreurs nocturnes qu’une fois le soleil levé. Qu’à cela ne tienne, je me débrouille. La peur, la haine et le deuil m’habite toujours mais j’ai trouvé dans mes activités forcées une sorte de refuge, ainsi qu’une certaine fierté. La fierté… est-ce une émotion à laquelle j’ai toujours droit? Je n’en sais rien. Et je m’en fiche. Je pousse mon petit chariot bourré de bouquin jusqu’à ma prochaine destination. Tant de puissance magique, tant de prouesse technologique à l’intérieur de ces murs et pourtant, je dois tout de même me servir d’un de ces chariot qui cherche toujours à virer d’un coté ou d’un autre sans contribution de ma part. Quelle honte. Donc, ranger 10572, rang 74, étagère 6. Je n’aurais pas à grimper pour ce volume. Dommage. Je remarque la chevelure éclatante d’Akiza, assise à une table au loin, dans l’air de lecture au centre de la et moi n’avons jamais conversé mais j’ai eu vent de sa réputation. Quelque chose en elle réveille en moi une certaine curiosité morbide. Je me dirige vers ma destination, en combat violent contre les souvenirs terrifiants surgissant aléatoirement dans ma conscience. Il s’adonne que je dois me rendre assez près du trône de sa majesté Akiza. *fshhp*Je soupire de satisfaction. Un autre précieux livre à sa place. Je me retourne vers la jeune femme au cheveux d’une rose éclatant et la fixe sans honte. Que lisez-vous là, charmante jeune fille? Un manuel sur la décence et l’empathie? Oh, mais bien sûr que non. »La remarque m’échappe mais je n’éprouve aucun remord. Je ne crois pas en être capable à présent. Sujet Re Il suffit d’une étincelle Mar 28 Déc - 2056 " An illusory happiness fills with flaws. Is he really delusional? " Super, la bibliothèque avait suffit une sorte " d'attaque ". C'était la pagaille partout, comme si une tornade était passée. Soupire. Comme notre jeune studieuse était vraiment attachée à cette académie et surtout à la bibliothèque. Elle ramassait ce qu'elle pouvait afin de remettre les livres à leur place. Des rumeurs, ils y en avaient beaucoup, surtout cette fille au cheveux bleus. Akiza ne la connaissait pas personnellement, mais déjà, elle ne pouvait pas la sentir. Elle était vachement bizarre. À ce qu'il paraîtrait, elle était aveugle. Ce n'était pas le fait qu'elle était aveugle le problème. Cette fille agissait comme une gamine et s'enfuyait toujours des cours, de l'infirmerie, et ce, en foutant le bordel partout. Une vraie plaie! Cela faisait environs une semaine qu'elle était au soin intensif et, enfin, le cursus était moins bordélique. Pourquoi elles étaient dans le même cursus. Akiza et Ayame n'avait pas les mêmes ambitions! Surtout, sa magie était bien plus élevé que cette gamine! Ayame ne devait pas croiser sa route, car Akiza allait lui montrer ce que c'était le respect. Après quelques rangées nettoyées, Akiza alla prendre une pause. Il y en avait encore plusieurs à ranger, mais bon, après une bonne pause, elle allait redoubler d'effort. Phew, Son grimoire posé sur la table, notre jeune studieuse décida d'y jeter un oeil. Rien en particulier, son grimoire racontait toujours l'histoire de sa vie dans différente langue. Son passé n'avait pas changé, mais sa vie oui depuis qu'elle pouvait lire ce grimoire. Combien de langue possédait-il ? Tous. Ce grimoire faisait en sorte qu'Akiza pouvait lire et parler toutes les langages, sauf le runique. Aussi, le fait qu'elle puisse toujours relire son histoire, cela lui permettait d'entraînement grandement sa mémoire. Oui, grace à cela, Akiza possédait une mémoire extraordinaire, mais non-seulement cela, elle pouvait aussi prendre d'innombrable notes dans son grimoire. Troisième chose, il y avait une section afin de recenser tout les artéfacts runiques qu'elle avait vus. Il y en avait seulement deux pour l'instant, mais c'était déjà pas mal. Alors qu'elle lisait. Un bruit, léger, donc pas fatiguant, déconcentra notre jeune liseuse. Sa joue dans le creux de sa main, son regard se tourna alors vers la direction du bruit. Un jeune homme illuminescent, comme une torche ou quelque chose dans le même genre. Étrange, elle n'avait jamais vu ça dans le cursus. Était-il Un nouveau ? L'aura qu'il dégageait semblait tellement lumineuse. Ça puait l'ange à plein nez. Les yeux de notre liseuse lunatique devinrent aussitôt rouges écarlates. Ses pupilles se rétractèrent comme ceux des serpents. Une seconde paire de crocs poussa ensuite. Son alter égo semblait bien intéressé par l'ange qui faisait ses travaux voix directe et autoritaire, elle dit à voix Un ange par ici, intéressant. " Even those pathetic creatures couldn’t defeat me " De ses yeux rouges, ses iris suivaient l'ange qui illuminait de toute illuminescence entre les rangées. Un sourire sournois resta sur ses lèvres. Bien sûr, l'académie regorgeait de race de toute sorte, mais les anges étaient assez rares. Ils étaient une minorités dans l'enceinte de l'académie. Les démons ? Ils étaient un peu plus nombreux, maid ils étaient pas mal regrouper dans le même dortoir s'ils étaient trop dangeureux. Selon certaines rumeurs, les anges formaient eux-même leur apprenties. Pas de temps à perdre. Pourquoi s'attarder à faire un feu avec quelques étincelles, alors qu'il y avait la magie ? C'était pareil pour les anges. Il était déjà des puissants êtres, pourquoi perdre de temps alors qu'ils avaient la chance d'être de puissants mages ou guerrier là haut. Regardant ses notes, À ce qu'il paraissait, le royaumes Céleste possédait des entraîneurs assez intéressant aussi. À quoi bon perdre du temps quand on peut faire affaire avec les meilleurs ?Ce n'était que des rumeurs bien entendue, mais Akiza aurait aimé trouver le fin mot de cette aussi il y avait des bons professeurs. Jamais elle n'allait accepter qu'il y ait une école surpasse celle que sa mère a faite prospérer pendant des décennies! Jamais! Sursaut. Ses yeux redevinrent normaux. Un rose magenta opaque. Légèrement, elle se retourna, c'était l'ange mystérieux qui l'interloqua. - Tu crois vraiment que j'ai du temps à perdre avec ce genre de sujet minable ? Dit-elle d'un ton y avait mieux à faire et à étudier que des sujets aussi puéril que celui-ci. Les mystères des cultures, des mythologies, artéfacts, la vie ou la mort. N'importe quoi. La psychologie était certe quelque chose de fascinant, mais pas assez pour le but qu'elle recherchait. Ce n'est pas avec de " l'empathie " qu'elle allait trouver un moyen de traverser cette limite rouge qui sépare elle de son objectif. Une ligne rouge, aussi paradoxal soit-elle, froidement délimité sur le sol qui les séparait. Là où un ciel rouge d'un côté et un ciel bleu cyan de l'autre côté. Séparée, alors que l'autre faisait un sourire narquois. Un sourire où l'on voulait bien y mettre notre poing à la figure, peu importe les conséquences! - Les recherches que je poursuis ont pour but de dénicher des secrets d'une envergure plus grande qu'une simple émotion tel que l'empathie! " Ton manque d'empathie est ta première étape en tant que verÉtend, répand ta haineJusqu'à qu'à l'évolution ultime du péché de la colère " Sujet Re Il suffit d’une étincelle Lun 10 Jan - 358 “Ah bon?”La réplique de mon interlocutrice hâte les tisons déjà brûlants reposant dans ma poitrine mais mes lèvres restent figé en un sourire malicieux que je ne reconnais pas. La pauvre sotte, va. Elle se croit si importante. Pour qui elle se prend? “L’empathie est à la pierre maîtresse de l’existence d’êtres dotés de conscience tel que la nôtre, tu sais. Sans cette seule capacité, tu te rapproche plus de la bête que de l’humain.”Je ramasse les livres éparpillés sur la table devant Akiza tout en parlant. Mon regard s’attarde sur le livre ouvert posé devant elle. Je n’arrive pas à discerner son contenu je note son allure peu ordinaire. Une sorte de vieux grimoire lugubre. “Que lis-tu là? Il fait vachement peur, ton bouquin.”Ma lueur corporelle asperge Akiza en son ensemble tel une manifestation torrentiel de ma belligérance. Je me tiens droit devant elle. Je n’ai pas peur. Les milliards de poignards dans ma poitrine me font monter les flammes à la tête. J’espère la voir grincer des dents, s’élancer à ma gorge, tenter vainement de me faire du mal. Le collet magique m’irrite d’avantage le cou avec chaque seconde mais je sais que même ce vulgaire bout de métal, enchanté soit-il, ne saurait m’arracher la victoire, me trouverais-je au milieu d’une bagarre. Mes pouvoirs me sont encore assez inconnus mais je sens la puissance m’échapper des bouts des doigts. Qu’elle s’essaie. Qu’elle tente sa chance. Je suis invincible. Même au beau milieu de cette foutu librairie où l’étendue de mes capacités s’est pointé le bout du nez. Sujet Re Il suffit d’une étincelle Mer 12 Jan - 225 " Il est trop confiant d'être un insecte " Akiza l'observait en train de déblatérer ses sottises. Comme si elle avait que faire d'être comparé à un animal. Elle ne parlait à personne, normalement, sauf si cela était à son intérêt. Dans ce cas si, il n'y avait aucun intérêt et partait donc son temps à étudier son grimoire. Le contenu semblait si illisible, mais elle pouvait facilement comprendre la langue ancienne inscrite dans le grimoire. Sa main sur la couverture du grimoire, elle baissa les yeux un moment en soupirant. Elle cherchant désespérément une réponse à son argument, elle en n'avait pas. Avait-il raison ? Jamais Akiza allait donner raison à un nouveau venu, surtout que – Il abord un collier anti-magie. Ses yeux fixèrent le collier subtilement. C'était un collier mineur, sa magie n'était pas totalement sceller, environs de 50%. Mais encore, il n'était pas surprenant qu'il soit dépositaire de ce collier après le foutoire qu'il avait causé il y a peu. Le plus choquant, c'est qu'il semblait se montrer fière, un certain égo se dégageait de cette dernière parole. Si notre jeune première de classe serait à sa place, directement, elle aurait été se chacher aussitôt. Ce collier était synonyme de défaite et une défaite n'était pas dans ses cordes, voire, envisageable. Par la suite, il fit une remarque sur son grimoire, après quoi encore ? Oui, c'était un grimoire, comme beaucoup, une aura étrange en émanait. C'est ce qui leur charme non ? Si ce seraient que des simples bouquins, personne en voudrait. Akiza ne pouvait pas laisser passer, du moins, une telle bavure. Cet homme lanterne agissait vraiment comme un gorille en cherche d'un nouveau territoire. Akiza n'était pas une femelle à convoiter et allait bien lui montrer un soupçon de ses talents. Une petite démonstration ; elle n'avait pas de collier, signe que elle, Akiza, maîtrisait ses pouvoirs. Elle répondit à sa Que ce grimoire soit beau ou laid ne change en rien le fait que tu agisses comme un gorille. Tu sembles oublier que ce collier réduit fortement ta consommation de Mana et bouffe de moitié ta puissance. Signe tu ne maîtrise pas tes pouvoirs. Tu es donc en captivité. Finit-elle avec un ton hautement elle continua avec un regard perçant et d'une voit plus cynique qui ne remplaçait surtout ton snob. - Si tu veux que je te calme les hormones, je peux te donner un petit coup de chaleur. Finit-elle – Sa main à peine au dessus de son grimoire, la température de la pièce venait de grimper, passant d'un agréable 20° à 38° en l'espace de quelques secondes. Une bouffée de chaleur qui titilllait la curiosité de bien des élèves dans la bibliothèque. Sa main se dégagea un peu plus de son grimoire, encore une fois, la température grippa à 43°. Quel était ce sort ? C'était sa pyrokinésie, en fait, une variante qu'elle essayait de développer depuis quelques mois. Malheureusement, Akiza ne parvenait pas à dépasser les 45°, lui coûtant, surtout, trop d'énergie, mais surtout de la maîtrise. Elle vivait surment trop haut, trop sourire satisfait, Akiza arrêta aussitôt afin de ne pas alerter les sentinelles. Elle ne voulait pas se faire " silent " ses sorts et encore moins porter ce ne voulait pas être en n'avait pas porté le nom de Star-eater pour rien." I am the only one, the unholy one and the one surreal "

il suffit d un mot pour qu elles se séparent